Confrérie du Guillon

Schenk Philippe

Commissaire en Chef
Dir. Régie des Domaines Schenk SA
Mont-sur-Rolle

Petit-fils d’Arnold Schenk, fondateur de la grande maison éponyme, fils d'André, tragiquement disparu voici quinze ans, Philippe Schenk tout nouveau quadragénaire a-t-il suivi d'emblée un chemin tout tracé? Pas tout à fait! A la sortie de l’Ecole de commerce, l'informatique et l'enseignement le disputaient à une carrière dans le commerce de vins. Et, comme très sagement, papa n'exerçait aucune pression quant au choix d'une profession, Philippe en profita pour parfaire ses connaissances Linguistiques et faire diverses expériences professionnelles.C’est ainsi qu'à Migros, il s'investit durant six mois dans le développement d'un logiciel de gestion des stocks. Après plusieurs stages dans diverses entreprises viticoles, il se décide et suit les cours de I'Ecole de Changins, dont il sort avec, en poche, un diplôme en œnologie et viticulture.Et c'est en 1999 que Philippe Schenk rejoint la société familiale, où il prend le rôle de régisseur des domaines, son frère François s'occupant du marketing. Sa fonction consiste donc à gérer quelques vignobles prestigieux: Château Maison Blanche à Yvorne, Domaine du Martheray à Féchy, Château de Vinzel, Château de Châtagneréaz et Domaine de Autecour à Mont-sur-Rolle.Là, il vécut toute son enfance.Aussi astreignante qu'elle soit, cette activité lui laisse quelques loisirs qu’il consacre à la lecture, aux balades en montagne (ah! le chalet du val Ferret), au football, passion qu’il partage avec madame, le veinard! il pratiqua d'ailleurs longuement ce sport avec le FC Bursins, en plein vignoble, comme il se doit.Autre passion: la gastronomie. Epicurien, Philippe apprécie les plaisirs de la table, vecteurs de convivialité. Mais attention, gourmet, mais pas cordon-bleu pour la bonne raison qu'il avoue avoir épousé la meilleure cuisinière qui soit: Christine.Christine qui possède encore bien d'autres talents... Ne lui a-t-elle pas donné deux fils: Louis en 2008 et Paul en 2011. La pérennité de la dynastie est donc assurée!
Ainsi brièvement esquissé, le portrait de Philippe Schenk se colore d'un détail cocasse. Son grand-Père maternel, François Desponds, était membre de la Confrérie de Saint-Jean-Porte-la-Tine, confrérie aujourd'hui disparue, mais qui fut à L'origine de la Confrérie du Guillon. Avec un tel aïeul, Philippe ne pouvait que revêtir la robe de conseiller qui lui sied d'ailleurs si bien.

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